mardi 11 septembre 2012

Décapitation

On sait tous qu'un bon criminel ou un bon meurtrier ne laisse pas de traces. 

Une chose que j’ai réalisé depuis quelques années, c’est que le meurtre parfait semble impliquer une décapitation.

Si la décapitation n'est pas retenue, l’utilisation d’acide ou d'un combustible doit être envisagée sans faute.

Si on ne prend pas de précautions, on s'expose à ce qu'un chien se mette à sentir quelque chose pour ensuite gratter dans le trou où on a enterré notre victime. Qui dit corps complet dit traces potentiellement laissées sur le corps retrouvé (ongles, cheveux, empreintes digitales, etc). Avec la décapitation, la combustion ou la fusion, les traces sont réduites au minimum, voire annihilées.

J’ai vu ça dans 3 séries de règlement de comptes :  
  • Dexter, le policier psychopathe qui a besoin de torturer et décapiter des gens (il se contrôle assez pour axer sa déviance sur des méchants);
  • Les Sopranos (gang de mafiosos du New-Jersey);
  • Breaking Bad (professeur de chimie atteint d'un cancer avancé qui fabrique du cristal meth dans un winnebago pour financer sa survie)
Ces trois séries sont très bien faites et très crédibles. Elles m'ont fait comprendre que la décapitation est un art répugnant mais essentiel pour naviguer dans les eaux de la criminalité.

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