mardi 25 février 2014

Les américains

Pour y être allé une bonne dizaine de fois, je commence à bien connaitre les États-Unis (j'y suis d'ailleurs cette semaine, ce qui me permet de parfaire mes impressions).

Je n'y ai jamais eu de mauvaise expérience. J'ai croisé quelques gens un peu désagréables ou peu intéressants, mais en général, tous les américains rencontrés équivalaient au minimum au québécois moyen.

Ce qui me fait affirmer que les gens qui n'aiment pas les américains sont généralement jaloux ou ignorants.

C'est un grand peuple et on devrait chercher à cesser d'avoir l'air d'une gang de calisse de demeurés en dénigrant ouvertement le peuple qui nous ressemble le plus et duquel on s'inspire à presque tous les égards.

Avec un habitant de quel autre peuple aurais-je pu avoir cette discussion, en entrant dans l'ascenseur, un matin cette semaine?

Black guy: "You're going down?"
Moi: "Yeah"
Black guy: "How are you doin'?"
Moi: "Fine and you?"
Black guy: "Still drunk from last night..."
Moi: "Oh yeah, you took a lot of beers?"
Black guy: "Yeah!"
Moi: "Do you like Guiness?"
Black guy: "Yeah I like Guiness!"
Moi: "Irish drink!"
Black guy: "Yeah, Irish drink. I was born in Jamaica and I've lived in London for 9 years!"
Moi: "Oh wow. What about The Clash? London Calling!?!"
Black guy: "London Calling, I like it!"
La porte s'ouvre et nous sommes rendus au rez-de-chaussée
"Ok, scuse me, I have to go (mon gars et mon père m'attendaient)
"I live in the fifth floor!"
"All right..."

Je pars rejoindre mon père et mon gars qui sont déjà partis à pied jusqu'au magasin. Pendant que je cours les rejoindre, le gars passe à côté de nous en auto, klaxonne et m'envoie la main.

Ce type m'a invité (entre les lignes) à me rendre chez lui pour prendre un coup en sa compagnie après 2 minutes de discussion.

Cool n'est-ce pas?

jeudi 20 février 2014

Il était une fois, un gars en tabarnac

J'étais en beau tabarnac. La vie m'avait fait un croc-en-jambe. C'était pas la fin du monde car j'allais survivre. Mais j'étais en tabarnac pareil. Pour une histoire qui ne se relate pas, dans un contexte où j'ai appris à ne pas reproduire les erreurs du passé en écrivant sur des sujets qui pouvaient me rattraper.

C'est un de mes problèmes: quand je suis en sacrament, je le suis pendant un bout et assez intensément. Je me mets à haïr le monde qui m'ont fait chier et même le monde en général.

Faudrait que je travaille ça mais je sais pas si j'ai le goût. En fait, j'ai juste le goût d'y travailler quand ça a un impact dans ma vie personnelle, genre quand ça me rend impatient avec mon garçon.

Faut donc que je fuis ces situations là aussi tôt que possible. Ça pourra m'éviter d'envoyer chier tout le monde et leur dire de manger leur marde après coup.

samedi 15 février 2014

L'upgrade

Depuis quelques mois, je ressentais une certaine angoisse. Mon poste avait été réévalué, ou, en des mots plus précis, "upgradé".

Selon les règles en vigueur, il fallait que je réussisse des examens de sélection pour conserver mon propre poste. Sinon, j'avais pas de plan B officiel, mais j'ai fini par comprendre que j'allais être un employé "flottant". Ce qui revient à dire que j'allais perdre mon poste et être replacé je sais pas trop où, avec des responsabilités sans doute moindres et un salaire également moindre.

Sans trop en être conscient, je pense que ça m'a occasionné une certaine insomnie au cours des derniers mois.

Je ne savais carrément pas où je m'en allais. Par en haut, ou par en bas? C'était l'un ou l'autre. Et vu que j'aimais bien mon boulot et que je m'y sentais utile (pour une fois), l'idée de partir me répugnait.

Eh bien j'ai eu mon résultat. Pis j'ai passé les examens. Quel putain de soulagement. J'ai une promotion, et surtout, je conserve ma job (le maintien de ce que j'ai me réjouit plus que la promotion).

Je peux enfin passer à une autre raison de m'inquiéter.

jeudi 13 février 2014

Toujours sosie après tout ce temps

C'est pas nouveau, mais voilà plusieurs années qu’on me compare à Jean-Thomas Jobin. 
Vite comme ça, je dirais que ça m’arrive 5 ou 6 fois par année (probablement que certains le pensent sans le dire donc mes statistiques n’incluent que les observations qui arrivent à mes oreilles).
Étrangement, il y a trois types de réactions bien différentes à mon endroit :
1-      On mentionne que je ressemble à Jean-Thomas Jobin et la personne réplique : « Hein? Je trouve pas que c’est le cas. »
2-      À force de m’entendre parler, une personne me dit : « Tu lui ressembles un peu, mais quand tu parles pis que tu bouges, c’est frappant comme ressemblance »
3-      En l’espace d’une fraction de seconde, sans que j’aie fait quoi que ce soit, la personne me dit que je ressemble à Jean-Thomas Jobin.
L’étendue des réactions est donc  grande, ce qui me mystifie. Personnellement, je trouve que je lui ressemble pas particulièrement, je penche donc vers la première réaction. Mais la troisième réaction est parfois très vive, ce qui continue de m’étonner (ça m’étonne de moins en moins avec le temps mais ça m’étonne quand même).
Justement, mardi dernier, j’étais à mon bar préféré des mardis soirs et, pendant que je zigonnais sur mon Ipod, un gars est passé à côté de moi en disant à son ami : « Hey, c’est le sosie de Jean-Thomas Jobin! ». Notons que je ne regardais même pas le type en question et qu’il est passé rapidement à côté de moi. Son commentaire n’était donc selon moi basé que sur une observation très furtive.
Le gars est resté à jaser avec moi 5-10 minutes, fasciné par ma personne (il m’a dit que c’était un compliment de me comparer à Jean-Thomas Jobin).
Je lui ai raconté l’épisode, il y a quelques années, où un vieux monsieur qui pissait à côté de moi à la taverne chez Jos Dion m’avait abordé en pensant que j’étais Jean-Thomas. J’avais joué le jeu et l’avais invité à venir me voir après mon prochain spectacle dans ma loge.
J’ai menti, mais j’ai rendu la journée de cet ivrogne beaucoup plus spéciale.
Bref, c’est cela. Jadis, certaines blogueuses clamaient : « Pas facile d’être belle! Lorsque je me promène latté à la main sur Ste-Catherine, des gars m’abordent pour me dire que je suis jolie! ».
 Et moi de répliquer : « Pas facile de ressembler à une personnalité connue! Plus moyen de jouer à des petits jeux sur mon Ipod sans me faire déranger en pleine partie. »

mercredi 12 février 2014

Méga gai

À la fin des années 90, j’ai été animateur dans un terrain de jeux pendant deux étés. Ce furent mes premières expériences de travail et j’ai trippé. Je pense d’ailleurs que c’est la période de ma vie dont je garde le meilleur souvenir.

Au cours de ces étés, je suis devenu ami avec l’un des animateurs. Il était fort sympathique, quoi qu’un peu maniéré. Il était aussi un peu baveux, cultivé et bourgeois sur les bords.

Un jour, Nicolas (un autre animateur) m’avait dit que certains des jeunes de mon groupe appelaient cet ami le « méga-gai », ce qui l’avait bien fait rire. Je pense que ça m’avait pas fait rire car il s’agissait quand même d’un ami. Mais la remarque était à propos. Il avait véritablement l’air gai. Je supposais toutefois que c’était un de ces gars à l’allure gaie mais non-gai.

D’ailleurs, à la même époque, j’avais reçu un courriel de Guillaume, ex-collègue de classe à l’Université m’ayant avoué son amour depuis le premier jour où il m’avait vu (dans un courriel intitulé « vraiment pas facile à dire »). Ce courriel fut un grand choc pour moi.

J’avais montré le email à quelques proches pour m’aider à digérer tout ça. J’avais entre autres montré le courriel à cet ami et il m’avait répondu quelque chose d’amusant et de pas gai du tout. C’était un peu méprisant pour Guillaume, à la limite (précisons ici que, par une étrange coïncidence,  avant sa déclaration d’amour, je pensais que Guillaume était un hétéro qui avait l’air gai).

Au cours de notre vingtaine, cet ami et moi nous sommes tranquillement éloignés l’un de l’autre.  À mes débuts sur le marché du travail, on se voyait encore une fois de temps en temps pour aller prendre une bière. Puis, ça s’est distancé de plus en plus alors qu’il était moins disponible en allant passer la plupart de ses fins de semaine dans des chalets avec des amis. Quand je lui demandais s’il était libre, il me répondait qu’il « avait loué un chalet à Trois-Rivières pour la fin de semaine avec des amis ». Pour moi, ça sonnait comme une grosse orgie avec des saunas remplis de sperme. Mais sait-on jamais me disais-je : « y’a des hétéros qui ont l’air gais ».
Puis, il est parti habiter à Montréal et sa vie continuait de se poursuivre dans une succession de partys. Il était toujours célibataire, du moins sur Facebook. Parfois, je le voyais avec une belle fille sur une photo, mais ça se révélait toujours être son amie. En fait, le seul moment où je l’ai vu avec une fille, c’est quand on était animateurs au terrain de jeux tous les deux et qu’il avait invité sa blonde à une activité. Après coup, je ne l’ai plus jamais revu accompagné. À bien y penser, je pense qu’en 15 ans, il ne m’a jamais dit qu’il trouvait qu’une fille était belle.

Dernièrement, il a mis en ligne des photos de voyage sur Facebook. C’était gai en saperlipopette. Je pense jamais avoir vu autant de photos gaies. Cinq gars, toujours collés les uns sur les autres, avec des poses semblant présager une brochette imminente. Dans la mer, tous les cinq, se serrant les uns contre les autres ou se regardant comme des amoureux. Mais pas un couple d’amoureux : un quintet d’amoureux. Pis, le grand punch, sur une photo, un gars donne un bec sur la joue à mon (ancien) ami. Bref, ces photos sentaient le smegma.

Malgré tout, après ces nombreuses années de doute et les récents indices fortement révélateurs, un doute subsiste toujours en mon esprit quant à son attirance envers le sexe mâle.

Je continue d’attendre une preuve scientifique recevable telle qu’un état civil mis à jour sur facebook indiquant « en couple avec un garçon ».

samedi 8 février 2014

House of cards

J'ai récemment commencé à écouter la série "House of cards" sur Netflix.

C'est la deuxième série originale à être réalisée exclusivement pour Netflix. Et il n'y a qu'une saison en ligne pour le moment. La deuxième saison sortira la semaine prochaine, d'un seul coup (13 épisodes sortis le même jour).

L'histoire relate les tractations politiques de Francis Underwood (personnifié par Kevin Spacey) à qui un poste important avait été promis au sein de l'administration avant les élections américaines. Malheureusement pour lui, il se fait baiser, puisqu'une fois les élections gagnées, le poste promis est octroyé à un autre, ce qui met Underwood en beau sacrament et en quelque sorte "tabletté".

Dès lors, il se met en mode revanche, ou plutôt en mode Machiavel. Épisode par épisode, il orchestre des fuites d'informations importantes de son parti dans les médias ou élabore des coups montés pour chercher à nuire à certains membres de son parti afin de lui laisser la voie libre pour la suite des choses.

Certains ont décrit le personnage comme étant "diabolique". Je ne pense pas que ce soit approprié. Il incarne toutefois à merveille le machiavélisme, c'est-à-dire la manipulation des autres pour atteindre ses fins. En fait, je pense n'avoir jamais vu un personnage aussi machiavélique que lui. Le tout en démontrant très peu de sentiments ou d'émotivité, du moins en privé. Notons que sa femme semble encore pire en incarnant un bloc de glace séduisant mais pratiquement dénué de sentiments humains. Souriante, mais jamais vraiment chaleureuse, et surtout, presque jamais honnête, au fond d'elle, ça semble encore plus noir qu'au fond de son mari. 

La série est intéressante mais assez difficile à digérer, du moins pour ce qui est des premiers épisodes. La politique américaine n'est pas si facile à comprendre, du moins pour un non-initié. De plus, beaucoup de personnages font partie de l'histoire, ce qui est difficile à démêler au début.

Notons de plus que, tel que spécifié plus tôt, les personnages ne sont pas attachants. J'en suis rendu au 8ème épisode sur 13 et la carapace d'Underwood et de sa femme commencent à être un peu fissurées, bref ils semblent un peu plus humains, mais ça reste des êtres fortement narcissiques et focussés sur la recherche d'utilité dans leurs relations avec les autres.

C'est pourquoi cette série n'est en aucun cas comparable à Breaking Bad qui demeure pour moi la meilleure série jamais produite. Je dirais aussi que les Sopranos étaient supérieurs. Mais la recherche derrière l'histoire et derrière les personnages est très poussée. Et tous ceux qui, dans leur carrière, accéderont à des postes un peu plus élevés comprendront un peu mieux toutes ces crosses politiques et feront probablement même des liens avec ce qu'ils ont déjà vu. En ce sens, la série est excellente. Mais pas pour tous.

Cote temporaire: 8 pénétrations sur 10 (pourrait possiblement être revue à la hausse après l'écoute complète de la première saison).

vendredi 7 février 2014

Enfin du monde avec des diplômes

Je viens tout juste d'aller porter les documents d'inscription de mon gars à la maternelle, à l'école tout près de chez nous (car c'est en septembre que mon garçon y fera son entrée).

Certains parents trouvent que c'est un choc que leur "bébé" entre dans le système scolaire.

Pour moi, c'est plutôt une délivrance.

Ça va très bien pour ce qui est du CPE dans lequel mon gars va depuis environ 6 mois. Il n'en demeure pas moins que l'épopée des garderies fut une horrible histoire pour moi: pas de place nulle part à part chez des folles ou des idiotes. Plusieurs d'entre elles s'habillent en jogging, d'autres sont obèses morbides, d'autres crient après les enfants ou avouent d'entrée de jeu qu'elles ne font ça que pour le cash, d'autres parkent les enfants devant la télé toute la journée pendant qu'elles font le ménage... 

Bref, enfin, mon gars va être dans un milieu encadré, avec des filles qui ont des diplômes et pas des osties de cruchonnes qui ont lâché l'école en secondaire 3 pour s'ouvrir un service de garde après s'être fait crisser dehors de tous les dépanneurs dans lesquels elles ont travaillé auparavant...

lundi 3 février 2014

En route vers une faillite

En fin de semaine dernière, ma sœur est venue faire un tour chez moi et pis on a jasé de tout et de rien jusqu’à ce qu’elle me parle de ses dettes. Elle me dit qu'elle hésite à trop m'en parler, de peur de ce que je pourrais lui dire (car je suis un tendre avec les gens pas à leur affaire, c'est bien connu, dans ma famille du moins). Elle ajoute être en train d’étudier les possibilités…
Qu’est-ce que ça veut dire? Les possibilités de déclarer faillite?

S’ensuit la discussion suivante :
Ma sœur : Je commence à mal dormir là. J’ai 12 000$ de dettes sur ma carte de crédit pis sur ma marge de crédit.
Moi : Bon ben la première chose à faire, c’est de te faire un budget. Faut savoir combien d’argent entre et combien d’argent sort à chaque mois.
Ma sœur : J’ai commencé à faire ça là depuis 2-3 semaines...
Moi : 2-3 semaines??? Pis t’as pas fini? Me semble que ça devrait pas prendre plus qu’une heure à faire?
Ma sœur : Veux-tu m’aider?
J’hallucine. Comment une personne de 36 ans peut travailler depuis environ 15 ans et ne pas savoir si ce qui rentre surpasse ce qui sort à chaque mois. J’ai beau halluciner, je sais que beaucoup de gens naviguent dans le brouillard avec leurs dépenses personnelles. Mais quand ça se passe autour de moi, ça me fait vraiment capoter. Je dirais même que ça me met un peu en calisse.
Mais enfin, j’acquiesçai à la demande de ma sœur et voilà que grâce à mes 16 années d’éducation, et par un incroyable effort mental, je mets sur papier les revenus et les dépenses mensuelles de ma sœur. Je saigne du nez pendant l’opération tant les efforts déployés sont grands.
Au final, on en arrive à environ 3200$ de revenus mensuels et environ 3100$ de dépenses. Ça donne une marge de manœuvre d’un beau 100$ clair par mois. Et encore là, je suis pas sûr que ça donne vraiment 100$.
Une dette de 12 000$ divisée par 100$, ça donne 120 mois (soit 10 ans) pour rembourser les dettes. Wow. Et ça, c'est dans un monde idéal sans intérêt. Parce qu'on s'entend que sur 12 000$, y'a pas mal d'intérêts qui s'ajoutent pendant dans 10 ans...
Au chapitre des grands moves financiers de ma sœur, notons la pose d’un aileron (1 000$) sur son auto LOUÉE. Notons également l’achat d’électro-ménagers en Inox lors de son récent déménagement. Notons finalement que l’école privée de son gars lui coûte 400$ par mois.
Quand la liste fut complétée, je demandai à ma sœur là où elle pouvait couper. Je lui demande combien lui coûte Vidéotron par mois. Elle répond que ça lui coûte 200$. Coupes ton cellulaire lui dis-je. Non, j’en ai besoin me répondit-elle.
Bon ben repenses à ton affaire pis sors ton gars de l’école privée l’année prochaine. 
Non, ça non plus je peux pas, rétorqua t-elle.
Au final, sur ses 3100$ de dépenses mensuelles, elle pouvait couper NULLE PART. Elle aimait mieux mal dormir avec 12 000$ de dettes que de couper à quelque part pour donner un bon coup de barre. Bref, c'était un copier-coller de ce qu’on fait au Québec avec nos dépenses publiques: on essaie de se convaincre que ça va pas si mal même si on creuse notre trou jour après jour.
J’avais rien que le goût de la prendre par les épaules pis la shaker : réveille sibole.
Siboire, elle a de la misère à arriver financièrement dans un condo à 200 000$ pis l'année passée, elle envisageait de s’acheter une maison à 300 000$. Elle m'avait même demandé de lui prêter de l'argent pour s'acheter une maison, car elle "avait besoin" d'habiter dans une maison (les condos, c'était trop petit).
Après quelques minutes, cet après-midi là, j’ai eu un flash : il n’y avait rien à faire pour aider ma sœur. Fallait que ça lui fasse mal pour qu’elle comprenne. Ça fait que je lui ai dit : « Vends une partie de tes REER ».
N’importe quelle personne sensée aurait dit : NON! Seulement en dernier recours! L’impôt va manger la moitié de ce que je vais retirer.
Ma sœur, au contraire, faut réconfortée par cette option. Elle pourra retirer 20 000$ et garder environ 10 000 ou 12 000$ de cette somme pour clairer entièrement ses dettes.
Et ce, sans avoir à couper dans son budget qui recommencera tôt ou tard à la faire descendre dans le joli petit sentier qui mène à la faillite...