jeudi 31 octobre 2013

Halloween 2013

Cette édition 2013 de l'Halloween fut météorologiquement merdique: de la grosse pluie toute la soirée et des flaques d'eau à passer au travers de n'importe quels souliers. Mais comme ça arrive qu'une fois par année, on n'a pas ben ben le choix d'y aller quand même.

On a passé peut-être 45 minutes dans le quartier et voici ce qu'on a ramassé (faut toutefois tenir compte de la petite récolte au CPE de mon garçon pendant la journée). Le fait notable de la soirée, c'est les madames qui se promenaient en char dans la rue et qui distribuaient des sacs, disant que les enfants ne passaient pas chez elles.


C'est quand même cool l'Halloween du fait que c'est probablement le seul moment de l'année où y'a un esprit de communauté dans le quartier. On cogne chez des gens à qui on parle jamais et tout le monde est de bonne humeur et content de contribuer au plaisir des enfants. Y'a aucun autre moment où le quêtage à sa place dans une année.

Quand on y pense, c'est une bonne chose. Ceux qui veulent pas participer ont juste à fermer leurs lumières pis à pas décorer leur maison. On leur en veut même pas. À part ceux qui envoient quand même leurs enfants passer chez les voisins.

mardi 29 octobre 2013

La mûre et le raisin

Le boulot m'a fourni un Blackberry. J'ai pas le dernier modèle. J'ai même pas l'avant-dernier modèle. En fait, je sais pas pantoute quel modèle j'ai, mais c'en est un qui remonte sans doute à belle lurette.

Quand je taponne dessus, je me dis que c'est une belle cochonnerie. L'écran est pas tactile. J'ai une espèce de souris cheap entre l'écran et le clavier pour me promener et cliquer maladroitement sur des trucs avec un concept de navigation pas intuitif, en tout cas, nettement moins intuitif que celui d'Apple.

Le seul avantage que je vois à la chose, c'est que très peu de gens doivent abuser de ce téléphone étant donné qu'il est de bas niveau. Les gens auraient sans doute beaucoup plus de plaisir et, par conséquent, gosseraient davantage sur un Iphone.

Blackberry, c'est un peu comme les raisins avec pépins. Y'a tu vraiment quelqu'un qui s'en va à l'épicerie et qui demande au commis: "Excusez-moi, avez-vous des raisins avec pépins?". Quand même que les raisins avec pépins coûteraient la moitié du prix de ceux sans pépins, j'en achèterai pas si je tire aucun plaisir au fait d'en manger.

Voilà une belle analogie entre une mûre et un raisin.

mercredi 23 octobre 2013

Les gens qui se font tatouer dans la face

Je n’ai jamais compris comment des gens pouvaient trouver que d’avoir des tatous sur le corps  les embellissait. Jamais de ma vie je n’ai vu une fille avec des tatous en me disant que ça lui ajoutait quelque chose d’intéressant.

Au mieux, pour une fille laide, ça peut dissimuler un peu de sa laideur derrière des dessins. Au pire, pour une très belle fille, ça s'apparente à de la folie que de scrapper ce cadeau fait par la nature.
Je sais que beaucoup de gens ne partagent pas mon avis. Plusieurs diront qu’un petit tatou dans le bas du dos ou dans le cou, c’est « cute ». OK, je pourrais aller jusqu'à dire que ça se toffe, mais c’est pas si cute que ça.
Là où ça se gâte, c’est quand certaines personnes abusent des tatous. Y’en a qui se font tatouer un bras ou une jambe au complet ou même les quatre membres au complet.
Le bout de la marde, ce sont les gens qui se font tatouer directement dans la face, comme ce type qui joue parfois de la musique au même endroit que moi les mardis soirs.
Pourtant, je pense que s’il était pas tatoué dans la face, ce serait un assez beau gars. Genre un 8 sur 10. Mais c’est dur à dire avec certitude parce que son tatouage lui déforme la face, d’une certaine façon.

Pour illustrer mon propos, j’ai pris la photo d’un gars renommé pour être beau : Leonardo Di Caprio. J’ai ensuite pris tout mon talent artistique pis j’ai appliqué à sa face le même dessin de tatouage que le gars dont je parle.
Y’a tu quelqu’un d’assez débile pour me dire que Leonardo est plus beau comme ça?
Calisse, y’a l’air d’un sioux qui s’en va scalper le colon en Nouvelle-Angleterre.

Bonne chance dans tes entrevues et dans l'évolution de ta carrière mon beau marginal.

vendredi 18 octobre 2013

De l'autobus à la maison et vice versa

Voisinage
Je courais fébrilement jusqu’à l’autobus puisqu’il était 7h25 et que l’autobus passait à 7h27. Pendant que je sprintais, un char s’est arrêté à côté de moi. Au volant, c’était une mère et du côté passager, c’était une jeune femme de mon quartier qui prend parfois l’autobus avec moi. Notons ici que je vois ces deux personnes à l’occasion mais que je ne leur avais jamais parlé.
La fenêtre de la conductrice est baissée et les deux me font l’offre, un peu en panique, d’embarquer avec elles pour me rendre à l’arrêt situé environ 200 mètres plus loin (parce que la fille se fait reconduire par sa mère car elle est en retard elle aussi). Je les remercie mais décline l’invitation parce que ça nous ralentirait tous dans ce contexte où chaque seconde compte.
Le père de cette même famille m’avait aussi offert un lift cet été alors que je courrais encore jusqu’à l’arrêt (c’est pas compliqué, je cours 90% du temps depuis que je prends l’autobus, c’est-à-dire depuis 4 ans).
Toujours dans la catégorie : « gens qui me voient courir le matin jusqu’à l’arrêt », mon voisin  m’a offert un lift jusqu’à l’arrêt y’a quelques mois.
Finalement, une fille qui habitait en diagonale de chez nous m’avait offert un lift y’a 2-3 ans et si ma mémoire est bonne y’a même une inconnue qui m’avait offert un lift un matin y’a quelques années. Ça fait au moins 5 personnes qui ne me doivent rien qui m’offrent un lift (on peut peut-être soustraire mon voisin avec qui j’ai une relation amicale quoi que pas très fréquente).
Quand j’y pense, je me dis que, même si certaines de ces personnes mènent une vie vraiment plate, ce sont des osties de bonnes personnes.

Steeve
La même journée, vers 17h45, je venais de débarquer de l’autobus et marchais tranquillement jusqu’à la maison. Tout-à-coup, un char s’est immobilisé à côté de moi. Pratiquement au même endroit où les deux filles m’avaient offert un lift le matin même. Le conducteur baisse sa fenêtre et m’interpelle par mon prénom auquel il a ajouté le nom de famille Dubé (ce qui est erroné).
Je le reconnais grossièrement et lui répond par : « Collège de Lévis »? Il me répond par l’affirmative.
Mais c’est l’heure du retour à la maison pour bien des gens et il semble vouloir débuter une discussion, lui dans son char, moi dans la rue.  Y’a des autos qui passent proche de la sienne et même des gens qui le klaxonnent, mais lui, il veut jaser. Il a l’air complètement abasourdi à l’idée de me revoir :
« WOW! Mais j’en reviens pas!!! Ça fait combien de temps? 20 ans?? T'es né à la même date que moi hein! (on est nés le 16 mai tous les deux et je m'en serais jamais rappelé). Habites-tu dans le coin? Mais comment ça se fait que je t’ai jamais vu par ici? T’es une des premières personnes du Collège de Lévis que je revois en 20 ans!! Qu’est-ce que tu fais dans la vie? As-tu un crayon? Non, j’ai pas Facebook, mais je vais ajouter ton numéro sur mon cellulaire pis on ira jaser à un moment donné! »
Mon doux seigneur, sa réaction s’apparentait à un gars qui revoit son meilleur ami d’enfance lors d’une excursion en Antarctique, là où les chances de croiser une personne connue sont inexistantes. 
Lui, il était déstabilisé par la vue de ma personne, moi, j’étais déstabilisé par sa réaction. Parce que :
·         Bien qu’ayant été amis quelques mois en secondaire 1, on s’est assez vite distancés l’un de l’autre pis à la fin de l’année, on s’aimait pus pantoute et on s’est jamais vraiment reparlé par la suite;
·         S’il a pas revu de monde du Collège depuis 20 ans, y’a un problème à quelque part parce que plein de gens de l’école habitent encore dans la région de Québec. J’en croise au moins un par année, même si j’ai plus de lien amical avec personne.
·         Les chances qu’on se croise étaient assez fortes vu qu’il habite à St-Nicolas pis moi aussi. Il m’a dit : « Mais comment ça se fait que je t’ai jamais vu par ici? » et je lui ai répondu : « Passes-tu souvent par ici à cette heure là en auto? » ce à quoi il m’a répondu « Non ». Ouin, ben tu l’as ta réponse.
·         Notons que le Collège de Lévis est situé à 15 ou 20 km de nos demeures respectives, ce qui est loin d’être à des années lumières. Bref, ce qui fait en sorte que de me revoir moi ou n’importe quel autre ancien élève apparait fortement probable d’un point de vue statistique.
Mais bon, outre sa réaction un peu démesurée, il était bien sympathique. Il avait un beau char avec un moteur V6 pis il m’a dit être chargé de cours à l’Université, avec un doctorat en poche. Après qu’il ait pris mon numéro, je lui ai serré la pince. Pis, croyez-le ou non, j’ai reconnu sa petite main rugueuse. J’imagine que je lui avais serré la main au secondaire. Comme une odeur d’école primaire ou bien une ambiance de corridors remplis de casiers, j’ai reconnu sa main rugueuse.
Pis étrangement, j’ai pas été tenté de lui donner un faux numéro.  Je sais pas s’il va me rappeler. Peut-être que rendu chez lui, il a pris ses pillules pis qu’il est revenu à la normale.

mercredi 9 octobre 2013

La naissance des enfants de ta mère

Au début de 2007, j’avais connu Brem lors d’une rencontre de blogueurs.  On n’était pas vraiment devenus amis, même qu’il y avait une petite tension entre nous causée par certaines de mes répliques dans la vraie vie et sur les blogs.
Ça s’est adoucit au fil du temps. Mettons que notre relation pouvait se qualifier de « relative indifférence ».
Je sais pas trop comment on est arrivés là (sans doute après des discussions sur Facebook), mais un soir, il y a peut-être 3 ans, Brem est débarqué chez moi avec sa basse pis quelques bières et on a jammé ensemble une bonne partie de la soirée.
Beaucoup plus tard, c'est-à-dire il y a quelques semaines,  j’écrivais sur Facebook à propos de mes soirées musicales à la Ninkasi. Brem s’est manifesté, me disant qu’il aimerait y venir avec moi. C’était une bonne idée et ça allait me faire un peu de compagnie.
On s’y est donc rejoint un soir, lui avec sa trompette, moi avec ma guitare électrique. On a jammé chacun notre tour. J’avais fait Basket Case de Green Day ce soir là et peut-être aussi Brain Damage de Pink Floyd. Lui, il avait jammé avec d’autres gars sur des airs de jazz ou de blues.
Dans les jours qui ont suivi, on a décidé de pratiquer ensemble quelques tounes pour avoir notre propre band. Lui à la basse, moi à la guitare pis Simon, le drummer de la Ninkasi, à la batterie. Le rôle du chanteur était indéfini mais j'ai vite compris que ça serait moi la majorité du temps. 
Un soir, Simon (qui est non seulement drummer mais aussi l’animateur de la soirée) nous a demandé au micro quel était notre nom et j’ai répondu « Les enfants de ta mère » (nom que m’avait déjà proposé Aimepé pour d’autres circonstances). Le nom est resté puisque lors de notre soirée suivante à la Ninkasi, Simon nous a encore présentés par ce nom.
À date, on y est allés 3 soirs, interprétant les chansons suivantes :
Psycho Killer - Talking Heads
Call me maybe - Carly Rae Jepsen
Message in a bottle - The Police
Man in a suitcase - The Police
Drive - REM
Radio Free Europe - REM
You might think - The Cars
Knowing me, Knowing you - Abba
 
Je ne sais pas combien de temps va durer l’expérience. Mais comme c’est là, on a plein de projets de chansons kétaines à jouer. On voudrait faire des chansons qui sont connues mais que personne ne joue comme « Blame it on the rain » de Milli Vanelli, « Mmbop » des Hanson, « Material Girl » de Madonna, peut-être « Hello » de Lionel Ritchie et d’autres tounes un peu plus sérieuses comme « No Rain » de Blind Melon, « 200 jours » des Parfaits Salauds » ou « Too Many People » de Paul McCartney. En fait, les possibilités sont infinies. Je m'en rends compte quand je me connecte sur Facebook et que Brem me bombarde de liens Youtube.
On a un nom, on a un peu de répertoire puisé dans le rock classique. On a un peu de talent, mais moins que la plupart des musiciens qui se présentent à la Ninkasi. Par contre, on a beaucoup plus d’audace que la majorité des gens avec nos choix de tounes. Elles ne sont pas toujours bien rendues, mais on essaye et on regarde en avant contrairement à la plupart des musiciens qui s'en tiennent à ce qu'ils font le mieux (toujours du rap, toujours du metal, toujours du blues).
Tout ce qui nous manque, c’est un look. J'ai demandé à Brem s'il avait un coat de cuir. Il n'en a pas. J'ai proposé de porter un cache-cou (accessoire jamais exploité par un groupe à ma connaissance) et j'ai pas vraiment eu de réponse.
On va travailler là-dessus.

dimanche 6 octobre 2013

Ma queue

Je n'écris plus à propos du boulot depuis que j'ai ce nouveau blog. C'est une question de tranquillité d'esprit.

Toujours est-il qu'il peut y arriver des circonstances exceptionnelles et, plus particulièrement, des circonstances ou mon rôle est secondaire dans une histoire. Je peux donc déroger à la règle dans un contexte comme celui de cette histoire de 5 à 7.

Je bois de la bière en compagnie de quelques collègues et tout va bien. Une fille que je ne connais que de vue s'approche et me dit qu'elle m'a vu lors de mon entrevue il y a déjà un bout de temps et qu'elle s'est dit que j'allais être engagé juste parce que j'étais grand.

S'ensuit un petit débat sur l'assurance VS la grandeur des gens. C'est intéressant même si on ne va pas au fond des choses. En fait, le débat doit durer environ une minute, avec deux ou trois autres personnes.

La soirée continue et je ne jase plus vraiment avec la fille. Mais elle vient à moi à quelques reprises avec un ton à la fois provocateur/baveux et séducteur. À un moment donné elle me dit que la première fois où elle m'a vu, elle m'a trouvé vraiment beau. C'est flatteur, mais elle dit des trucs un peu baveux aussi, ce qui ne me la rend pas nécessairement sympathique.

Je finis par perdre un peu la notion du temps et de la chronologie des événements car je suis un peu chaud. Mais la fille se colle les totons sur moi et me redit une ou deux autres fois que je suis vraiment très beau. Je comprends pas ce qui se passe car cette fille sort de nulle part pour moi.

On change de bar et la fille se colle encore les totons sur moi pour danser en me disant que "c'est le fun parce que contrairement à tous les autres gars, je veux pas la baiser". J'ai beau être un peu chaud, je me demande comment tous les autres gars peuvent avoir envie de la baiser.

Elle me demande ensuite de façon répétée d'aller la porter chez elle à la fin de la soirée. J'ai juste le goût de répondre non, mais je trouve ça trop raide donc je lui dis que je sais pas quand je vais avoir envie de partir. Elle me dit qu'elle est prête à partir n'importe quand.

Pis finalement, (ou peut-être pas finalement car elle m'a peut-être dit ça avant les dernières interventions que je relate), elle me dit que j'ai sûrement une grosse queue.

FIN.

vendredi 4 octobre 2013

30% de rendement

Il y a déjà 5 ans que j'ai investi pour la première fois à la bourse.

C'était en plein durant la crise de 2008-2009. Je ne savais même pas comment acheter des actions en ligne avec le système de Disnat. J'étais un peu stressé à l'idée de faire une gaffe en achetant mes premières actions de la Banque Scotia et de la Banque Royale.

Le temps a passé. J'ai lu pas mal de trucs sur Internet. J'ai emprunté des livres à la bibliothèque. J'ai comparé plein d'actions entre elles. Pis j'ai fini par comprendre certaines choses pas si compliquées finalement. J'ai surtout fini par comprendre comment déceler une bonne compagnie. Ce qui n'est pas si difficile, mais ce qui prend quand même un peu d'expérience.

À ce jour, je n'avais jamais calculé ma performance à la bourse. Au final, je savais que mon argent investi croissait d'année en année, ce qui signifiait que je m'enrichissais. Mais m'enrichissais-je adéquatement?
 
Cette semaine, j’ai calculé ma performance depuis le début de l’année 2013. J'ai été étonné de constater que j'en étais arrivé à un rendement de 28-30% depuis le 1er janvier (et l'année n'est même pas finie). 
Pendant ce temps, la bourse en général (TSX) a procuré un rendement de 18-20%, ce qui est également très bon.
Et pendant ce temps, la caisse populaire a procuré à ceux qui y avaient effectué des dépôts à terme un intérêt annuel de 0,9%, ce qui est médiocre.
Bref :
J’aurais investi 1000$ à la caisse pop et ça m’aurait rapporté 9$;
J’aurais acheté un fonds indiciel pour 1000$ (qui reproduit la performance de la bourse) et j’aurais fait environ 200$;
Au lieu de ça, pour chaque tranche de 1000$ investie en bourse, je me suis fait 300$.
Je reste humble devant ces résultats parce que, de un, un crash pourrait survenir n'importe quand, ramenant ma performance à un niveau plus modeste. Aussi, ma performance est issue du fait que je lis plein de trucs sur la bourse, particulièrement sur Internet. Je ne suis donc pas un génie qui fonctionne tout seul. Je m’inspire beaucoup d’un type qui s’appelle Jason Donville et qui est derrière la plupart de mes choix d'actions de compagnies canadiennes. Sans m'être basé sur ses conseils, ma performance aurait sans doute été inférieure.

J'ai aussi quelques bons coups uniquement personnels tels que Dollar Tree et United Therapeutics qui m'ont rapporté environ 50% de rendement depuis un an. Ces choix là, personne ne m'a influencé pour les faire. Ça me fait réaliser que j'ai un minimum de talent. 
Je suis conscient que ma performance générale ne se reproduira pas à chaque année. Si je peux avoir un rendement annuel moyen de 10% sur le long terme, ça sera déjà bien. 
Ce que je trouve le plus intéressant, c'est de voir que mes choix de compagnie se sont nettement  améliorés avec le temps. Je constate tout de même à regret que j'ai parfois vendu trop tôt certaines compagnies qui m'apparaissaient trop chères. Voici quelques exemples:
Mastercard: acheté à 326$ US, vendue à 473$, maintenant à 670$.
Nu Skin: acheté autour de 40$ US, vendu autour de 42$, maintenant à 100$
Boyd Group: acheté autour de 10,50$, vendu autour de 15$, maintenant à 28$
Ce qui est notable avec ces 3 compagnies, c'est que j'aurais conservé mes actions à peine 6 mois ou un an de plus et j'aurais doublé ou même triplé ma mise initiale. L'erreur est plus percutante dans ce temps là. Et j'ai fait ces erreurs récemment, c'est-à-dire depuis la fin de 2012. C'est la vie.