Suite à mon dernier texte à la manière de keeg.ca, quelques blogueurs
ont eu l'idée d'écrire un texte à ma manière. Faut croire que j'ai un
style inspirant...
J'ai pouffé de rire à plus d'une occasion en
lisant ces textes. Certains passages ne m'épargnent pas du tout, mais je
ne crois pas mériter d'être épargné non plus. Beau travail de fouilles
archéologiques pour certains qui font référence à des trucs que j'ai
écrits sur mon blog il y a belle lurette!
J'y vais donc ici d'un
pot-pourri des meilleurs extraits des textes de ces 4 blogueurs qui ont
écrit en se mettant dans ma peau. Le texte au complet est disponible sur
chacun de leurs blogs :
La Marâtre (style DARK):
Les
gens deviennent esclaves de leur couple, n'ont plus de vie propre, ne
pensent plus qu'à deux cerveaux fusion, car le leur ne leur suffit plus.
Ils sont plus morts que vivants! Ben moi, je leur dis FUCK YOU
TABARNAK, pis FUCK THE WORLD!
Virge (style COCKY):
Je
m'approchai ensuite du vestiaire, où le gars n'en voulait qu'à mon
petit cul racing. Fuck you maudit fif, tu peux ben rêver, tu me
toucheras JAMAIS.
Enfin, à 22h, après 2h de tournage en rond, le
speed dating commença. J'avais déjà compris que les plus belles filles
de l'endroit n'y participeraient pas parce qu'elles étaient déjà
accompagnées de montréalaids à casquette à l'envers. Ce fut pire que
prévu, les filles sélectionnées me donnaient toutes envie de gerber.
Je
suis le meilleur. Je suis beau, je suis grand, j'ai une maison avec des
planchers de bois francs et j'ai un cabanon. Je suis un grand champion
international de courses et je m'aime. Je vais me toucher tel un Mike
Boy. FUCK THE WORLD.
Tangerine (style SOFT):
Samedi
soir, après avoir passé deux heures à admirer mon cabanon par la
fenêtre, j'ai décidé de me grouiller le cul et de faire quelque chose de
ma personne.
J'arrive au bar et le seul homme dans la place est
sur le plancher de danse. Gros, barbu, verres fumés, appellons-le 'le
gros épais'.
Nick (style MOTHERFUCKER):
Je
me souvint de l’ère où je gratifiais ma noble guitare de mes doigts
agiles sur la rue St-Jean, démontrant mes talents de musicien de rue de
façon inégalable, et sachant que nul ne saurait me détrôner de mon
piédestal dûment mérité. J’eus tord en crisse.
C’est sans parler
des sales condescendants du Plateau de Montréal, mais eux je leur
réserve ma légendaire droite. Je vous ai conté que je détestais Dieu et
le vent d’automne qui renversèrent de concert mon précieux cabanon?
Sûrement, dans un de mes obscurs billets de 45 000 mots…
En fait,
j’en étais à terminer l’allégorie de toutes mes frustrations contre le
système de rencontre qu’est le satanique RéseauContact, incarnation
électronique de l’enfer sur Terre.
Merci à tous, je peux me retirer du monde des blogs après de pareils hommages.
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