jeudi 11 août 2005

Résumé du By The Fireplace Two Thousand Five

Afin de ne pas laisser le temps trop faire son oeuvre et effacer de ma mémoire les souvenirs du By The Fireplace édition 2005, je résume ici la soirée du vendredi 22 juillet 2005:
 
La soirée débuta avec un bon gros feu vigoureux alimenté par de nombreux morceaux d'arbres fournis par mon très cher père. Les quelques boites de carton (emballages de meubles IKÉA ramassés au cours des jours précédents) qui furent ajoutés au bûcher ont contribué à rendre le feu vraiment impressionnant et à propulser quelques morceaux de carton carbonisés dans les airs. Rien de trop épeurant toutefois.
 
Vers 21h-21h15, les premières personnes arrivent. Charles arrive en premier (Charles est très fiable, un des premiers arrivés et un des derniers partis depuis au moins l'année passée... Je ne me souviens pas trop du feu de 2003) suivi de Simon Fortier et Joanie Côté (deux personnes que je n'aurais pas pensé voir, donc agréable surprise).
 
Pas très longtemps plus tard, tabarnac, nous voyons arriver un truck du service des incendies qui passe devant le champ. Le gars sort dudit camion et vient nous avertir comme quoi nous ne contrôlons pas les braises et qu'il s'agit d'un feu illégal. Un voisin a porté plainte, il faut donc éteindre le feu quasiment naissant. Inutile de dire que je suis en calisse de voir qu'un voisin est en train de ruiner mon événement annuel.
Mon père, non dénué de ressources nous arrive donc avec deux fanals qu'on sacre au milieu d'un cercle de chaises. L'expérience perd de son charme et surtout, de sa chaleur, mais enfin, tout le monde est là et j'ai acheté une caisse de 24 pour l'occasion, donc il est un peu tard pour reculer.
 
Jean-René Landry arrive, accompagné de sa soeur et de Camille (une fille que je ne connais pas). Puis c'est Andrée-Anne Duquet... Je désespère pour la venue de Marc-André, de Martin et de Benoit (LE NOYAU!) qui se font attendre un bon moment mais qui finissent tous par arriver, à partir de 22h30 environ. Disons qu'un feu sans le noyau, c'eut été fort désolant.
 
Nous buvons donc quelques bières, on jase de tout et de rien, une course entre Benoit et Simon (à pied) et moi (sur le bécike de Charles) est organisée. Je finis avec une lamentable troisième position à mon grand désarroi. Martin arrive avec sa blonde qui refuse une bière. Me trompant à propos de son nom, je l'appelle "Gwendolyne" et nous nous voyons dans l'obligation d'ajouter ce nom à notre chanson annuelle. On sort la guitare et on compose une chanson intitulée "Fanal Fanal", en hommage au charmant pompier venu nous avertir. Il était si dodu, il fallait bien rendre hommage à ses mamelons. Avant, après ou au milieu de la toune, nous faisons la maintenant classique pyramide humaine qui comprend cette fois 9 personnes (un record!). La photo sera d'ailleurs mise sur cet espace MSN très bientôt, dès que j'aurai Internet à la maison!
 
Marc-André prend une solide débarque en s'enfargeant dans mon étui de guitare. Propulsé sur le gazon, heureusement en territoire trop près du feu pour avoir été souillé par le pipi de nos vaillants buveurs de bière.
La soirée se termine vers les 2h du matin alors qu'il ne reste plus que le NOYAU (Charles, Martin, Benoit et Marc-André). Je prends la décision qu'aucun feu n'aura lieu sans l'accord ou la présence d'un de nous cinq dorénavant, car nous sommes assurément l'âme du By The Fireplace.
 
Un peu déçu par l'absence de certaines personnes qui ont dit qu'elles seraient là. En fait, on peut compter 4 ou 5 filles qui ne se sont pas rendu au feu, malgré qu'elles aient dit qu'elles y seraient. Enfin, on a quand même doublé l'assistance par rapport au feu de l'année dernière (12 personnes si je ne m'abuse).
Très satisfaisant. Jusqu'à la mort les amis, ne l'oubliez pas.

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